La pratique avec le soleil
Trois éléments à prendre en compte pour la pratique avec le soleil
La pratique avec le soleil
- La sensibilité de ses yeux face à la lumière : Certaines personnes sont plus sensibles que d’autres à la lumière, celles qui ont les yeux bleus, par exemple.
- Le lieu géographique où l’on habite : Les personnes qui habitent des régions très ensoleillées sont en général moins sensibles, car leurs yeux sont plus habitués aux fortes lumières.
- Le nombre d’heures par jour où l’on est exposé à la lumière : Travailler toute la journée à l’air libre dans une région ensoleillée n’aura pas la même incidence sur le renforcement de la vue que de vivre dans une capitale et travailler toute la journée dans un bureau.
Ainsi, en fonction de ces trois critères, on adaptera sa pratique avec le soleil.
La plus grande prudence s’impose donc aux personnes qui ne sont pas exposées toute la journée à la lumière naturelle produite par des journées ensoleillées.
Voir : Le Soleil source lumineuse
Les personnes qui travaillent en extérieur ne rencontreront aucune difficulté à fixer les levers et les couchers de soleil.
Les personnes qui ont comme métier berger ou pêcheurs , en raison de leurs conditions de travail une bien meilleure vue.
Dans les temps anciens, où l’on savait vivre au rythme de la nature, certains ont développé des facultés, disons, paranormales grâce aux fixations du soleil.
Je vous invite à lire le livre du Docteur Lefebure « Phosphénisme, la clé scientifique des manifestations surnaturelles ».
LA CLÉ DES MANIFESTATIONS SURNATURELLES
La troisième phase du phosphène, la « lueur diffuse », est une énergie qui émane du cerveau. Elle est photographiable et permet de percevoir les objets physiques en pleine obscurité. Elle est à l’origine des phénomènes de voyance, des rêves prémonitoires, des visions et des apparitions et de toutes les manifestations surnaturelles.
De plus, cette énergie émise par le cerveau s’accumule dans le lieu où l’on utilise régulièrement les phosphènes, ainsi que dans « l’aura » des personnes qui pratiquent.
Ces sels phosphéniques constituent ce que les Anciens appelaient les « égrégores », qui sont à l’origine de tous les lieux saints et de tous les lieux sacrés, car ils permettent d’accéder aux plans subtils, aux mondes invisibles.
Ces phénomènes ne sont pas aussi rares qu’on peut le croire, mais il existe une sorte de loi du silence, imposée pour éviter que les « secrets initiatiques » ne se répandent.
À qui ces phénomènes et ces événements peuvent-ils profiter ?
Qui a besoin d’en dissimuler la nature ?
Les personnes qui ont comme métier berger ou pêcheurs , en raison de leurs conditions de travail une bien meilleure vue.
Dans les temps anciens, où l’on savait vivre au rythme de la nature, certains ont développé des facultés, disons, paranormales grâce aux fixations du soleil.
Je vous invite à lire le livre du Docteur Lefebure « Phosphénisme, la clé scientifique des manifestations surnaturelles ».
LA CLÉ DES MANIFESTATIONS SURNATURELLES
La troisième phase du phosphène, la « lueur diffuse », est une énergie qui émane du cerveau. Elle est photographiable et permet de percevoir les objets physiques en pleine obscurité. Elle est à l’origine des phénomènes de voyance, des rêves prémonitoires, des visions et des apparitions et de toutes les manifestations surnaturelles.
De plus, cette énergie émise par le cerveau s’accumule dans le lieu où l’on utilise régulièrement les phosphènes, ainsi que dans « l’aura » des personnes qui pratiquent.
Ces sels phosphéniques constituent ce que les Anciens appelaient les « égrégores », qui sont à l’origine de tous les lieux saints et de tous les lieux sacrés, car ils permettent d’accéder aux plans subtils, aux mondes invisibles.
Ces phénomènes ne sont pas aussi rares qu’on peut le croire, mais il existe une sorte de loi du silence, imposée pour éviter que les « secrets initiatiques » ne se répandent.
À qui ces phénomènes et ces événements peuvent-ils profiter ?
Qui a besoin d’en dissimuler la nature ?